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Restitution des biens publics : Le Palais National passe à l’offensive

  • Photo du rédacteur: elmano endara joseph
    elmano endara joseph
  • 3 déc.
  • 1 min de lecture

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Dans une seconde note ferme et sans ambiguïté, datée du 1er décembre 2025, le Palais National enjoint les anciens agents et contractuels à restituer immédiatement les biens de l’État mis à leur disposition. Véhicules, équipements, matériels : tout doit revenir avant janvier 2026, sous peine de poursuites. Un rappel qui sonne comme un test d’autorité et de crédibilité pour l’exécutif, décidé à rompre avec les pratiques de rétention qui minent l’administration.


Le Palais National hausse le ton. Une deuxième note de rappel, vient d’être adressée aux anciens contractuels et agents publics ayant servi au sein de l’institution. Message clair. Somme pressante. Les biens de l’État doivent être restitués. Sans délai. Sans subterfuge.


Véhicules. Équipements. Matériels divers. Tout ce qui avait été confié pour l’exercice des fonctions officielles doit revenir à son propriétaire légitime : la République. Rien de plus. Rien de moins. Le Secrétariat Général insiste sur la « restitution immédiate ». Il ne s’agit plus d’une simple formalité administrative. Il s’agit d’un devoir juridique. D’un impératif éthique.


Le délai est fixé. Janvier 2026. Pas un jour de plus. Au-delà, les récalcitrants s’exposent à des mesures légales. Procédures ciblées. Sanctions possibles. L’administration entend rompre avec les pratiques de rétention abusive qui, trop souvent, fragilisent les institutions et vident l’État de ses moyens.


Le rappel résonne comme un test. Test d’autorité. Test de crédibilité. Test de volonté politique. Le pays observe. Le Palais affirme : la reddition des comptes commence aussi par la restitution des biens publics.


Mitchel Kewing ETIENNE

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