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Le GARR réclame la protection des enfants déplacés ou rapatriés

  • Photo du rédacteur: elmano endara joseph
    elmano endara joseph
  • 23 nov.
  • 1 min de lecture


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Un rappel ferme. Un cri nécessaire. En cette Journée internationale des droits de l’enfant, le 20 novembre 2025, le Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR) remet la question au centre du débat : protéger les enfants haïtiens déplacés ou rapatriés n’est pas une faveur. C’est une obligation.


Dans un communiqué sans détour, l’organisation interpelle l’État. Elle demande des garanties. Des mesures réelles. Des actions immédiates pour des milliers d’enfants matyrisés par les crises sécuritaires, les expulsions massives et l’effondrement social. Leur vulnérabilité est extrême. Leur invisibilité, scandaleuse.


Le GARR insiste : chaque enfant rapatrié doit être identifié, accompagné, protégé. Sans discrimination. Sans retard. Les centres d’accueil doivent être renforcés. Les services sociaux réactivés. Les violations documentées. Les abus sanctionnés.


L’organisation rappelle aussi que le respect des droits de l’enfant ne se limite pas à des déclarations symboliques une fois l’an. Il exige des politiques publiques solides, des ressources, une volonté réelle de l’État et de ses partenaires.


En ce 20 novembre, le GARR renvoie les autorités à leurs responsabilités. Derrière les chiffres, des visages. Derrière les discours, des vies suspendues. Les enfants d’Haïti attendent plus qu’un engagement : ils attendent une protection effective.


Mitchel kewing ETIENNE

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